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Error :  

Comme toutes les personnes qui parlent beaucoup (publiquement), il énonca quelques énormités, ou quelques opinions très discutables ...

Cf. "Combattre la violence [institutionnelle] par la violence [populaire]"

NB/ Un cover de la débile Loi du Talion* (avec le réflexe anti-riches revanchard des opprimés jaloux, au lieu de causer PARTAGE ...)

* slogan gagne-petit : "oeil pour oeil, dent pour dent" au lieu de :
- Yeux pour oeil, mâchoire pour dent -


Encourager les peuples des autres pays en voie de développement à prendre les armes et a créer « de nombreux Viêt Nam »
etc.)

 

 

 

Mais il posa les bonnes questions ...

(Le sous-commandant Marcos, plus tard, apporta de meilleures réponses, en s'émancipant (et avec lui, les indiens opprimés) sans grand recours à la violence, (à la force il faut opposer la ruse : en profitant des fêtes de Noël pour conquérir un site stratégique alors que la garnison est ivre, par exemple !)
Au Chiapas les zapatistes réussissent davantage par le discours "équitable", et avec une communication moins radicale.
(Internet ayant fait son apparition entre-temps :
Chaque jour un message arrivait à dos d'âne à l'université pour être immédiatement téléchargé dans le monde entier : ce procédé valut la vie sauve au révolutionnaire, et enclencha des aménagements pour la population de la part des gouvernants.)

sub-comandante

 

"Vu de là-haut, il n'y a pas de pointillès sur le sol... comme sur la carte." (J-P. Kalfon)

Le théoricien qu'était aussi le Che, envisage le regroupement de toutes les nations d'Amérique du Sud (comme dans celle du Nord, mais sur des bases politiques différentes, avec de nouveaux statuts).

Dans son essor réformiste forcené, une prise de conscience supplémentaire poussa le Che à remettre en cause la collusion U.S.A. / Union Soviétique.
Car il perçoit parmi "les pays riches" (de par la captation des ressources des pays "émergeants") une connivence tacite, malgré "la guerre froide", au détriment des peuples "du Sud" (dits péjorativement "sous-développés").
Pays qui, selon lui, devraient être "armés" (il l'entendait littéralement, aussi, notamment) par les pays "développés".

Cette sentence, proclamée publiquement, signa son arrêt de mort : après la C.I.A, le K.G.B. se trouva être également un ennemi juré.

 

     
"nous sommes encore prisonniers du pétrole"


TRAHISON : "Abjurer n'est pas trahir, si l'on se mentait à soi-même"
(Félix Goudart, dans "Le Renégat")


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